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Misha Haäpalaïnen
Misha Haäpalaïnen
Messages : 14

Feuille de personnage
Age: 29 ans
Pronoms: Elle
Club:
Pouvoir: Perception et manipulation des émotions et des traumatismes
Misha Haäpalaïnen
Cancre



Dim 22 Oct - 0:09
Misha Haäpalaïnen
ft. Circé de la mythologie grecque / Waterhouse

Âge : 29 ans
Date de naissance : 21.06
Genre : F.
Nationalité : franco-finlandaise
Année d'étude : (si étudiant)
Emploi : conseillère/psy
Club : ...
Sexualité : Pan
Caractère

J’ai tellement de choses à vous dire à son sujet que j’en oublierai nécessairement. Nous ferons donc avec les failles de ma mémoire, et règlerons les manques plus tard, probablement dans nos échanges.

En grandissant, on lui a dit qu’elle avait mauvais caractère ; c’était la phase désagréable par laquelle passent de nombreux adolescents, mais elle en garde encore quelques traces : rancunière, prompte à l’irritation et à la colère… on remarque toutefois d’avantage ses qualités, et les efforts qu’elle fait pour être une personne agréable à fréquenter, à qui se confier est aisé et avec qui passer du temps est plaisant. Elle est patiente avec les étudiants qui viennent la voir, et tente de l’être avec les adultes qu’elle fréquente. Il lui arrive de céder aux accès de fureur qui peuvent la surprendre, mais elle tente généralement de le faire à l’abris des regards. Pour lui permettre d’évacuer la colère qu’elle ressentait plus jeune, sa grand-mère lui a fait suivre des cours de boxe et de judo, qu’elle a par ailleurs beaucoup appréciés ; quand elle sent la colère monter, plutôt que de se défouler sur la source de l’énervement, elle trouve un sac de frappe sur lequel cogner. Quinze ans plus tôt, elle aurait trouvé quelqu’un sur qui taper, alors on remarque sans difficultés les progrès qu’elle a fait pour améliorer son comportement et ses habitudes.

Elle est bienveillante, et cultive cette bienveillance dans l’idée que plus elle aura l’air gentille, accueillante, non jugeante et à l’écoute, mieux elle sera en mesure d’accompagner ceux qui viendront frapper à son bureau, pour une oreille attentive, pour un échange ou pour quelle mette ses pouvoirs à bon usage. Alors le coin de ses yeux commence à prendre le pli des rides dues à un sourire large et quasi constant, et elle tend à relaxer les muscles de son visage au maximum lorsqu’elle est seule. Ou ivre. Ce qui arrive… assez régulièrement. Vous comprendrez une fois que vous aurez lu le contenu de son pouvoir, les raisons qui pourraient la pousser à boire. Au-delà des habituelles raisons « le monde est une dystopie et une source d’angoisse permanente ». Plus ou moins au-delà des raisons habituelles.

Elle a un sens exacerbé de la justice qu’il ne fait pas nécessairement bon avoir dans sa ligne de métier, parce que c’est le meilleur moyen d’alterner sans cesse entre la fureur et le découragement. Elle aimerait croire qu’on ne règle rien par la violence, par exemple, mais force est de constater que sans violence, nombreux.es étudiant.es et professeur.es ne seraient pas en sécurité à Leoska, mais dans des camps. Les choses ne changent pas, pourtant. Elles continuent même d’empirer, les non-mages continuent d’empirer. Et son état mental ne peut, en conséquence que se dégrader, moitié désespoir et moitié usage de son pouvoir pour aider ceux qui ont été pris dans les mailles du filet.

C’est une amatrice de belles choses : beaux meubles, beaux vêtements, mais surtout œuvres d’art, livres et musiques. Elle a longuement hésité sur ce sur quoi faire reposer son futur : certainement pas dans la finance, comme ses parents, mais dans quel domaine ? elle a cru devoir faire son choix entre l’étude de l’histoire, celle de la littérature et celle des beaux-arts. Ce n’est pas ce qui l’a conduite là où elle en est aujourd’hui, mais ce sont ses principaux centres d’intérêts et elle se serait facilement imaginée professeure d’une de ces matières si elle n’avait pas été forcée de suivre des études « utiles ». Faire psychologie n’a pas exactement plu à ses parents, mais c’était toujours mieux à leurs yeux qu’apprendre à dessiner, entreprise doublement inutile pour quelqu’un qui savait d’après eux parfaitement dessiner – et Dieu seul sait à quel point les études d’art ne s’arrêtent pas au savoir-faire du dessin – et qui n’aurait pas un travail méritant à leurs yeux. Il a fallut faire des compromis des deux côtés, comme toujours quand il s’agissait de décision qui ne concernait que sa personne.

Elle a grandi en Finlande mais fait ses études au collège, puis au lycée français et a donc une très bonne maitrise de la langue, bien qu’un léger accent. Elle pense et rêve dans un mélange hasardeux de français et de finnois, et n’a aucune peine à suivre des échanges rapides entre natifs. Elle aime sa terre d’accueil, avec les réserves qu’on peut apporter à un pays avec les pratiques de la France vis-à-vis des mages, d’un point de vue purement culturel. Les peintres, les auteurs français lui plaisent particulièrement, bien que l’histoire française ne soit ni plus ni moins intéressante que celle de son pays d’origine. Elle consomme une grande quantité de livres, dans sa langue maternelle et en français notamment, et dans les quelques langues qu’elle ne maitrise pas aussi bien mais dans lesquelles elle se débrouille assez pour ne pas avoir besoin d’une traduction. Son rêve d’enfant était de devenir autrice. Elle ne l’a pas encore laissé derrière elle, mais elle a conscience des difficultés que poserait une présence médiatique aussi rare soit-elle couplée à son identité de mage et à son travail et sa résidence à Leoska. Son autre rêve d’enfant était de devenir artiste. Elle ne l’a pas non plus laissé derrière elle. Elle a délaissé l’histoire et son étude académique pour se concentrer sur des ouvrages traitant de phénomènes, périodes ou éléments précis, mais n’y accorde pas autant de temps qu’à la peinture, à l’écriture ou à ses lectures plus littéraires. Elle sera toutefois ravie de discuter avec vous à ce sujet et d’échanger ses connaissances.

Elle a des problèmes d’anxiété et de dépression, auxquels se rajoute un TDAH non diagnostiqué, non conscientisé et donc pas accommodé. Ce qu’elle prend pour des particularités n’est autre que la neurodivergence, qu’elle croise et reconnaît régulièrement chez les élèves, mais est incapable de percevoir en elle-même. Parce que quand même. Elle a la vie facile. Ses symptômes ne sont pas si pires. Elle arrive à se lever le matin, et à se faire du thé, même si c’est dans une tasse qui n’a pas été lavée depuis des semaines et autour de laquelle s’accumule une fine couche de poussière. Les gens qui ont un TDAH en souffrent, et elle, elle va très bien. Tout va très bien. Elle est heureuse.

Ces quelques mots ne permettent pas de saisir en détail à quoi correspond son caractère. Elle a ses humeurs et ses défauts, ainsi que ses qualités, et ce qui est à noter tout particulièrement c’est qu’elle essaie, sans cesse, jour après jour, d’être meilleure, plus humaine, d’en faire plus. Ses colères sont généralement nées de son profond sens de la justice – ou de votre bêtise, ça arrive aussi – et sont de ce fait généralement assez peu tournées vers une personne propre, mais envers une entité, un groupe, un système. Dans lequel elle essaie de glisser quelques grains de sables qui pourraient, elle l’espère, faire sans violence s’arrêter la machine. Idéaliste.

Physique

Elle n’est pas très originale. Sa beauté est très conventionnelle, correspond aux standards européens : elle a le nez légèrement bossu, mais rien qui n’accroche le regard trop longtemps ; des lèvres pulpeuses, d’un rose foncé, généralement émiettées par les morsures intempestives dues à l’angoisse et à ses doigts qui s’accrochent à tout ce qu’ils peuvent pour tirer, arracher, soulager ; elle a les yeux bleus, sombres, avec des teintes lapis assez vives qui les rendent intéressants à regarder ; des sourcils épais ; un sourire à la palette variée, nuancée, riche – quand elle sourit, sa lèvre supérieure se retrousse et dévoile ses dents blanches, légèrement mal alignées ; elle a les cheveux brun chocolat, qui lui tombent sur les hanches et dont elle teint régulièrement les pointes en violet sur une vingtaine de centimètres. Elle rêve depuis des années de les teindre en rose pâle mais n’a pas encore sauté le pas : elle sait que ça les abimerait et qu’elle serait forcée de couper une grande partie de ses longueurs, ce qui la fait hésiter. Un jour.

Elle a de nombreux piercings sur le visage et les oreilles : un médusa, orné d’un cabochon en opale monté sur une tige en or ; un septum doré ; un piercing sur chaque narine, tous les deux parés du même ornement plat ; trois piercings au lobe de chaque côté, un bon petit nombre d’hélix, un indus et un conche respectivement à droite et à gauche. Elle change plus régulièrement les piercings de ses oreilles que de son visage, à l’exception du septum qui s’ôte et se remet sans présenter de difficulté.

Elle aime porter des bagues, ornées ou non de pierres précieuses – généralement de lapis lazuli ou d’opales – qui ne permettent pas de dissimuler les nombreux pansements qu’elle porte aux mains pour diverses raisons, toutes liées à la maladresse. Coupure avec du papier un peu trop profonde, chute qui s’est soldée en de grosses égratignures, rencontre un peu trop agressive avec un couteau de cuisine ou avec une théière… elle les collectionne. La peau de ses mains est marbrée de cicatrices allant du rose frais au blanc passé, indélébile. Elle ne prend pas la peine de dissimuler ses autres bobos : la vue du sang pourrait déranger certains élèves, mais ses vêtements lui permettent généralement de cacher les bleus dus aux chutes ou les griffures les plus violentes.

Elle est grande, dépasse le mètre quatre-vingt-cinq, et porte généralement des chaussures aux semelles compensées qui lui font atteindre le seuil du mètre quatre-vingt-dix. Elle a une corpulence banale : des fesses et des seins, du ventre, des cuisses, des vergetures aux endroits clés, des poils qu’elle n’épile ni ne rase par conviction autant que par flemme. Elle aime se vernir les ongles en noir, ou dans des teintes sombres qui complimentent la palette de couleur des vêtements qu’elle a choisis. Qui sont souvent noirs. Parfois aubergine, ou lie de vin, vert sapin, ou bleu marine pour aller avec ses yeux. Elle porte du maquillage, des combinaisons de khôl, rouge à lèvre rouge ou noir sur la lèvre supérieure, fard à joue d’un rouge tout sauf naturel. Parfois, un trait d’eyeliner, quand elle a vingt minutes à consacrer à l’entreprise de les faire égaux et réguliers.

Elle porte généralement des vêtements simples, amples, montre sans peine ses jambes ou ses bras tant qu’elle n’a pas de blessures à cacher des yeux des élèves, des débardeurs, des blasers, des jupes longues, des robes courtes, des jeans troués, des mocassins à semelles compensées ou des Doc. Martens. Quand elle peut, elle laisse ses tatouages à l’air libre, pour la simple et bonne raison qu’ils sont réussis, qu’elle est ravie de pouvoir les voir et que les regards extérieurs puissent les contempler.

Histoire

Ah. L’étape obligatoire, la règle à laquelle on est obligé.es de se plier. Son histoire. Rien de grandiose, j’en ai bien peur, quelques lignes qui traceront à grand trait les étapes de sa vie, ce qui l’a menée à ses 29 ans, ce qui fait qu’elle est qui elle est, l’étape à laquelle on a cessé de parler d’elle au passé pour commencer à la faire vivre auprès de vous. Venons-y en rapidement, de sorte d’être rapidement débarassé.es, voulez-vous ?

Elle est née dans une clinique privée finlandaise, de parents finlandais. Un homme et une femme d’affaire, qui voyageaient beaucoup et prenaient assez peu soin d’elle. La grossesse n’était pas une erreur, elle était désirée. De préférence un fils pour hériter de l’empire familial. Une fille, tant qu’elle sera intelligente, conviendra.

Certaines fois, le lien entre les parents et l’enfant ne se fait tout simplement pas. Le nourrisson n’a aucune idée que le concept d’amour existe, n’a aucune idée du tout, et les parents… ne ressentent rien à l’encontre du bébé. C’est ce qu’il s’est produit. Par ailleurs, la mère de Misha a été sujette au baby blues et a du passer plus de temps à la clinique pour se reposer et remettre de l’ordre dans ses émotions, ses pensées. Elle a été envoyée chez sa grand-mère paternelle, seule aïeule qu’il lui restait, et c’est sans grande surprise que le lien s’est fait entre le bébé et la vieille.

Elle a grandi entre la maison de ses parents et celle, plus modeste et confortable, de sa grand-mère. Parents absents, chacun orienté vers sa carrière et très peu intéressés par leur fille, qui ne provoquait en eux que peu de réactions, ils ont choisi de l’envoyer vivre chez la mère de son père dès qu’ils étaient absents, c’est-à-dire très régulièrement. Elle n’a donc pas manqué d’amour. Pas exactement, pas tout le temps. Quand est arrivé l’âge, elle a été envoyée au collège, puis au lycée français, dans lesquels elle a vécu en internat, ne rentrant que le weekend chez sa grand-mère. Là, la colère est apparue. Contre ses parents, principalement, contre le monde dans sa totalité, crise d’adolescence et rage toute justifiée, qui ont inquiété la vieille femme, peu désireuse de voir sa petite fille se noyer et s’étouffer dans sa propre haine. Elle l’a inscrite à des cours de boxe et, quand il s’est avéré que deux heures par semaine n’étaient pas suffisantes, à des cours de judo. Elle a appris à se battre, à frapper, et à éviter les coups, à danser avec ses partenaires. Ça l’a aidée, un temps, jusqu’à ce qu’elle mette ses nouveaux acquis à contribution à l’école, dans les bars dans lesquels elle n’était pas censée être, dans la rue quand on la regardait de travers. Alors, pour canaliser encore toute cette rage étouffante, elle a commencé à suivre une thérapie. La psychologie ne l’a pas exactement fascinée, ça n’avait rien à voir avec les livres d’histoire qu’elle dévorait, les romans d’amour et les romans de guerre, ou les peintures compliquées dont le sens coulait sans pouvoir être pleinement saisi, comme du sable sec. Mais c’était intéressant, intriguant. Elle s’est résolu à régler ses problèmes les uns après les autres, à accepter la relation qu’elle avait à ses parents, sa dépendance affective vis-à-vis de sa grand-mère. A faire avec, puisqu’il n’y avait pas moyen de faire mieux.

Et puis ses pouvoirs sont apparus. Une certaine capacité pour reconnaitre les émotions des autres, les comprendre comme si elles étaient siennes. Puis à manipuler ces émotions. Puis à creuser pour découvrir l’origine de ces émotions, et détricoter les liens noués, mander les fils cassés ou effilochés. Ressentir avec les autres, puis pour les autres. Et là, son intérêt bref pour la psychologie a aidé. Elle a appris à dissimuler ses pouvoirs, n’en a parlé qu’à sa grand-mère, pas à ses parents, jamais à ses parents, à personne, les a gardés pour elle du mieux qu’elle pouvait.

Puisqu’elle parlait français, qu’elle n’avait jamais voyagé et que ses parents comptaient sur le fait qu’elle aille faire ses études dans un pays étranger, elle a choisi la France. Elle s’est plu au climat, aux paysages, aux librairies. Elle a commencé sa première année de licence de psychologie. Elle a terminé son master. Passé des concours. Obtenu le prolongement de son visa. Obtenu un poste de fonctionnaire à l’éducation nationale en tant que conseillère d’orientation et psychologue. Détesté cette expérience parce que concrètement, ça aidait qui ? personne. Cherché des gens comme elle, différents, des gens qui l’ont orientée à demi-mot, énigme par énigme, chuchotis par chuchotis, aux grilles de Leoska. Et plus besoin de visa pour rester, puisqu’elle serait, de toute façon, dans l’illégalité la plus totale.

Pouvoir

Description pouvoir : Son pouvoir fonctionne de plusieurs façons différentes. La première, la plus naturelle et à laquelle elle doit le plus faire attention, la perception des émotions des autres. Si elle ne prend pas garde à ce qu’elle fait, elle reste branchée sur les émotions de celleux qui se trouvent dans un rayon de cinq mètres d’elle à peu près, et si elle ne fait pas vraiment attention, elle risque de manipuler inconsciemment ces émotions pour qu’elles ne viennent pas la perturber : faire cesser la mauvaise humeur de quelqu’un, faire remonter les larmes ou la colère. C’est une mauvaise chose, quelque chose qu’il faut surveiller, pour deux raisons : 1. C’est épuisant pour elle, d’utiliser constamment son pouvoir. 2. Faire cesser les émotions négatives ne signifie pas les guérir. Il s’agit tout simplement de les supprimer, ce qui peut créer un vide chez la personne concernée. Croyez moi, parfois le vide est la pire de toutes les sensations, de toutes les émotions. C’est assourdissant, c’est pesant, c’est dangereux. Elle n’apprécie pas ressentir ce vide non plus, surtout qu’il s’accompagne généralement d’émotions pires qu’elles ne l’étaient dans un premier lieu.

Ensuite, et c’est là que sa formation de psy et de conseillère entre en jeu : elle peut accéder, moyennement concentration intense et contrecoup désagréable, à la source des émotions. La modifier. Réécrire en quelques sortes les connexions dans la mémoire pour améliorer la capacité de l’esprit à les encaisser, à les accepter, à les laisser derrière soi. Problème :

Description contrecoup : Si elle utilise son pouvoir sans s’en rendre compte, elle finit par avoir des migraines, voir trouble, saigner du nez et être dans un état général de fatigue avancée. Si elle l’utilise volontairement pour retravailler les émotions des autres, pour les aider à dépasser leurs blocages et leurs traumatismes, elle est forcée en retour de les ressentir tels qu’ils sont arrivés aux personnes qu’elle essaie d’aider. Elle est confrontée aux émotions et aux mémoires, contre lesquelles elle ne peut pas grand-chose. C’est là que sa formation en psychologie entre en jeu : c’est un pouvoir très pratique, surtout dans un refuge, mais c’est aussi très violent pour sa psyché et elle ne se permet de l’utiliser qu’en ayant le consentement de l’Académie et de l’étudiant ou adulte en question, et en cas de force majeure uniquement.

A votre propos

Pseudonyme : Mitre/Axl/whatever comes to mind
Prénom : Axelle-Rose
Âge : 25 ans
Comment as-tu connu le forum ? : Mordred 4ever
Commentaire : déso si le pouvoir est overcheaté, je réduirai les doses si jaja

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Mordred Arraw
Messages : 1703

Feuille de personnage
Age: 21 ans
Pronoms: il
Club: Tir à l'arc/Lecture
Pouvoir: Créer des hallucinations visuelles, auditives et tactiles • Manipuler la mémoire
Mordred Arraw
8e dan de bullshit



Lun 23 Oct - 14:29
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