Cette école est un refuge pour beaucoup, dans cet univers de conflits. Mais cet abri est particulier. Poussez ces portes et venez découvrir ce nouveau monde.
 
AccueilCalendrierFAQRechercherDernières imagesMembresGroupesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

 :: Au commencement... :: Présentations :: Fiches de présentation validées Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Stracciatella Siren
Muse Duprat
Messages : 57
Muse Duprat
Camarade



Lun 26 Juin - 14:40
Nom Prénom(s)
ft. OC  [Dessins personnel/Image généré par IA/ Illustration de Kanhoe]

Âge : 20 ans
Date de naissance : 25/06
Genre : Féminin, questionnement
Nationalité : Française
Année d'étude : 1er année de CAP (Lycée) (si étudiant)
Emploi : (si personnel)
Club : Art/Théâtre
Sexualité : PAN
Caractère



Little pearl you think you’re in gold.


Au premier abord, on pourrait facilement qualifier Muse de superficiel. Ce serait un raccourci particulièrement rapide.

On parle de superficialité pour caractériser des éléments qui ne montrent qu’une surface et pas de profondeur. Mais ce n’est pas parce qu’une surface est polie comme un miroir qu’il n’y a rien en dessous. Au contraire c’est une stratégie, un détournement d’attention, de la prestidigitation : l’irréfutable preuve de l’intelligence sociale de celles et ceux qui savent manipuler l’apparence.

Limiter les autres à la stricte surface, c’est les laisser voir ce qu’ils souhaitent dans le miroir pour mieux plaire. Et ça, c’est ce que préfère Muse. Plaire.

C’est un astre qui aime que le monde gravite autour d’elle. Si des profils aussi individualistes et égocentré ont souvent propension à ne pas apprécier que des étoiles plus grosses qu’elles leurs fasses de l’ombre ; ce n’est pas son cas. Elle aime baigner dans la lumière des personnes d’influences, puissantes, intelligentes, riches et estimées le parti qu’elle peut en tirer.

Elle pourrait être excellente dans ce qu’elle fait. Le problème, c’est que son sens de la stratégie et de la manipulation à la fâcheuse tendance à mourir étouffer dans son orgueil démesuré. Elle est hautaine. Capricieuse. Impulsive. Quand elle veut quelque chose, elle le prend. Quand elle méprise quelqu’un, elle le montre. Elle fait des erreurs qui lui nécessite souvent d’être entouré d’alliés puissants pour que son statut les permette.

D’alliés oui. Parce que des amis, elle n’en saisit pas l’intérêt puisqu’elle n’en a jamais eu. Les groupes dans lesquelles elle naviguer se servait d’elle et elle se servait d’eux, tout n’a toujours été qu’une question d’image et de contact, de toile à tisser. Ça lui convient. On ne peut être trahis que par des personnes à qui l’on fait confiance et elle ne compte pas laisser cette possibilité à qui que ce soit. Les menaces à partir de maintenant, elle les écrasera dans l’œuf, mieux vaut être trop prudente que de prendre le risque de tout perde à nouveau. Elle est prête à tout, même au pire, quand il s’agit de sa sécurité personnelle, ou d’accès au pouvoir, quel qu’il soit.

Elle a aussi une… fâcheuse tendance à mentir. Elle est bonne comédienne ce qui lui permet d’incarner avec aisance l’image sociale qu’elle souhaite renvoyer. Le problème, c’est que ça lui est terriblement confortable, d'inventer. Au-delà de manipuler les autres, elle est la première à vouloir croire ses propres histoires pour lui permettre de ne pas penser à la sienne.

Scolairement, Muse éprouve énormément de difficultés à suivre les cours théoriques et se sent vite menacé quand on met en lumière son manque de résultat scolaire. Elle complexe sur ses capacités et ça ne l’aide pas à davantage comprendre les matières des cursus généraux. Elle est beaucoup plus à l’aise dans les domaines appliqués, et ressent un attrait tout particulier pour ce qui a un rapport avec l’art, l’esthétique ou la magie. Surtout la magie.

Physique



Bet you've been a fan of me

Étrange. Féerique ? Éthérée ou irréelle peut-être. La nouvelle apparence de Muse peut fasciner comme repousser, mais on ne lui enlèvera pas qu’elle est plutôt perturbante. Surtout pour elle qui n’a pas eu le temps de s’habituer au fait que son teint olive et ses cheveux blond-roux aient brutalement laissé place à du blanc d’albâtre, ton sur ton, comme si elle avait pris un bain de lait et que la substance avait définitivement recouvert sa peau.

Les nuances de son apparence se définissent principalement par la manière dont les matiéres capte la lumière. Son epiderme par exemple brille de quelques légère iridescence, alors que ses lévres et sa langues paraissent plus mat et foncé.  

Toute sa capillarité a connu le même sort, tous ses poils sont blancs, de ses jambes à sa tête. Ses yeux aussi, dont on ne distingue plus l’iris ni les pupilles : que deux grands miroirs blancs en amandes. Le seule constrate naturelle dont elle bénéficie à ce jour constitue ses anciennes taches de rousseur, devenu noir vanta, et qui aide considérablement à mieux discerner ses contours.

Bref. Elle est devenue étrange. Mais ça ne l’empêche pas d’accorder la même minutie au soin de son physique que par le passé. Puisqu’elle comptait faire de son apparence son métier, elle n’a jamais lésiné sur son entretiens. Des ongles toujours parfaitement manucurés, des maquillages élégants, une peau soignée et des cheveux souples qui lui arrivent à mi-cuisse. Le tout couronné d’un budget beauté mensuel qui ne lui laisser pas la possibilité d’explorer beaucoup d’autres loisirs.


Elle bouge avec une classe étudier. Démarche, haussement de sourcils, la manière dont elle papillonne des yeux lorsqu’elle veut paraître perdu dans ses pensées. Le hasard n’a pas sa place dans l’image qu’elle renvoie.


Ni dans son style vestimentaire qu’elle a toujours sélectionné selon la mode actuelle. Problème, elle n’est pas riche et tombe constamment dans les affres de la fast-fashion pour suivre le mouvement. Elle rêve de se reconstituer une garde-robe vivable au plus vite.

Depuis son changement d’apparence, elle s’amuse parfois à jouer sur le noir et blanc pour s'orienter sur un style plus witchy, ou au contraire sur la couleur pour rehausser la monochromie de son corps.

D’une taille d’1m77, elle apprécie se rehausser sur des talons pour surplomber une grande majorité de personnes. Ça élance sa silhouette déjà particulièrement efflanquée, peut-être même trop pour sa santé. Son manque de forme et les contours plutôt fins de son visage lui permettent selon les vêtements d’avoir une apparence très androgyne bien qu’elle ne joue pas encore beaucoup sur ce trait.

Histoire




« Non, mais vous êtes employé par le FBI en fait, c’est pas possible ? Lâchez-moi la grappe putain !

— C’est ça, va faire ta crise ! »


CLAC. Muse ferma sa porte à clef et s’appuya contre cette dernière, le visage dans les mains pour réfréner son envie de pleurer qu’elle acheva par un hurlement rageur. Elle se laissa glisser contre le mur pour se mettre en boule sur son palier.

Au moins, maintenant elle était seule.


« Quartier Jean-Jaurès. 18 h 30. Maison des Duprat. Muse fait vivre un enfer à ses parents depuis l’âge de ses 15 ans. Absence… répété au profit de sortie entre jeunes, bulletins de notes catastrophiques, elle est sur la pente glissante du décrochage. La raison ? »


Seule avec la voix off de 7 à 8. Habilement interpréter par…


« Putain, Léandre. Si j’avais besoin d’un reportage sur ma petite personne je me ferais payer pour, dégage de ma chambre.

— Ça va, ça va j’étais juste venu te déposer tes fringues et j’ai pas eu le temps de repartir dans les délais. »



Léandre, c’est son frère. Deux ans de plus. Un avenir si brillant devant lui qu’il devra probablement porter des lunettes de soleil toute sa vie.

Il sourit.


« T’as envie que je dégage ou t’as envie de me raconter tous tes malheurs ? »



Et en plus d’être brillant, il avait l’audace d’être sympa et bonne oreille. De jalousie, elle avait envie de le mettre dehors à grand coup de pied au fesse. Mais dans sa magnanimité, elle se contenta de soupirer.

Parce qu’elle avait quand même vachement plus envie de lui conter tous ses malheurs.


« Qu’est-ce que tu veux que je te raconte ? Tu connais la rengaine, non ? Gngngnnn, mais qu’est-ce que tu vas faire de ta vie faut absolument que tu ressaisisses, c’est encore plus dur pour nous les mages ouin ouin, t’es privé de sorti jusqu’à ce que tu comprennes. Faut que t’arrêtes de fréquenter tes soi-disant amis, que t’arrêtes d’utiliser ton pouvoir même si on est à la maison. Ils ne changent JAMAIS de disque, tous les de trimestre ils lancent le refrain !

— Ouais bon ils sont un peu bloqués deux siècles plus tôt des fois, mais ils veulent ton bien, tu sais. Essaie au moins d’avoir ton BAC franchement comme ça s’est plié et tu fais ce que tu veux.
— Genre c’est facile ?! Je-déteste-ces-cours-de-merde. Je pourrais carrément mieux gagner ma vie avec insta. J’ai un putain de visage de modèle, j’ai déjà une commu hyper impliqué et des propositions de sponso. Je pourrais cartonner s’ils croyaient en moi. Ça sert à rien que je perde du temps à aller en cours… »


Léandre haussa les épaules s’assit sur le lit. Il savait que là ce n’était pas la peine d’insister, cette discussion ils l’avaient déjà eu des centaines de fois et il trouvait aussi absurde qu’elle que leurs parents la forcent à suivre des études qui ne lui plaisaient pas. Sa réflexion avait été bête. Si elle pouvait « Juste essayer d’avoir au moins son BAC » 90% des conflits quotidiens serait réglé.


« Tu veux que joue de la gratte ? »


Oui parce qu’il sait aussi jouer super bien de la gratte. Et oui, elle avait envie de l’assommer avec parce que ça l’agacer de le savoir aussi douer en tout.  Mais elle savait sa jalousie mal placée et en l’état, elle préférait l’entendre jouer.

Elle hocha la tête et Léandre revint quelques minutes plus tard, jouer à côté d’elle, poser dans un silence musical.

Heureusement qu’il était là, parce que ses parents c’était plus possible. Bien sûr elle attisait régulièrement les braises en les provocants avec son pouvoir quand ils n’allaient pas dans son sens, alors ils resserraient les sanctions et le cycle était sans fin, car Muse est incapable d’accepter les limites qu’on lui impose. Les seuls humains avec lesquels elle était… Correcte, c’était sa fratrie. Facile. Sa sœur avait 4 ans et son frère la connaissait trop pour qu'elle soit autre chose que naturelle avec lui.

Au lycée, elle était bien pire. Elle minaudait quand il était nécessaire de montrer patte blanche, mais n’hésitez pas à abuser de la position sociale qu’offre le privilège des groupes les plus populaires. Tout ce qui l’importait, c’était l’ascension ; sociale, économique, peu importe, mais elle voulait grimper et atteindre ses propres objectifs. Mais tout rejeter sur l’effet de groupe serait une erreur. Individuellement, elle n’était pas une meilleure personne.

Comme ce jour où elle avait pris une mage en flagrant délit, dans le socio de l’école. C’était quoi déjà son nom ? Ah oui, Aline. Comme si elle pouvait l’oublier.

Et bien cette pauvre Aline s’est retrouvée à provoquer des flashs lumineux dans un vieux placard à balais comme si on n’en voyait rien depuis l’extérieur. Lorsque Muse ouvrit la porte, la panique s’intensifia, et la jeune mage, en pleine crise d’angoisse clignota de plus belle.

Le cerveau de Muse tourna étrangement plus rapidement que devant n’importe quel problème mathématique. Depuis le début de l’année, Aline était plutôt isolée, probablement par peur de ce genre d’accident. Tous ses vêtements étaient de marque…

La parfaite mule pour les plans de Muse. Évidemment qu’elle n’allait pas la laisser se faire attraper alors qu’elle venait de trouver un le moyen de pression idéal. Aline paniqua en la voyant, mais Muse, calme, essaya de l’aider à respirer, s’apaiser jusqu’à la sortir d’affaire et de la ramener à un état fonctionnel. Muse ne lui laissa pas le temps de bégayer de vague remerciement, ce n’était pas la peine de lui faire miroiter un acte de bonté désintéressé.


« Écoute ma grande, c’est très simple. Tu as besoin du secret pour survivre, et moi j’ai besoin d’argent pour mes projets personnels, donc toi et moi on va faire affaire ensemble tu comprends ? Tu me donnes les sommes que je te demande, et en échange, je ne te dénonce pas, c’est gagnant-gagnant. Deal ? »


De toute façon ce n’est pas comme si elle avait le choix. Aline le savait.

Alors deal il y a eu.

Bien sûr personne n’était au courant du chantage, ni ses groupes de « potes » ni sa famille. Elle mettait un point d’honneur à restreindre les dépenses permises par son nouveau pouvoir d’achat pour limiter les soupçons.

Le temps passa. Ce cinéma dura plus d’un an, où Aline tous les mois devait les sommes demander à Muse, qui ne se priver pas non plus de venir réclamer des services ou des rentes pour des besoins plus ponctuels. Qu’est-ce qu’elle allait faire de toute façon ?

Autrement le quotidiens restait inchangé. L’aide de Léandre n’avait pas suffi, elle avait raté son BAC S, mais la colère de ses parents lui glissa dessus. Repiquer une année, c’était un an supplémentaire à accumuler des ressources pour se barrer. Elle était déjà majeure, il ne lui manquer qu’un bon pécule de base pour sécuriser son départ.


Mais elle n’eut pas se luxe. Le problème avec la magie, c’est son instabilité. Et le problème d’avoir une magie de persuasion alors qu’on a la formulation à l'impératif facile, c’est qu’on lui trace naturellement la voie pour qu’elle sorte toute seule.

« Non, je m’en fous que tu en ais besoin ce mois-ci, tu me les donnes maintenant. »

C’est le moment où ça avait dégénéré sans qu’elle ne le sache.

Aline qui protester quelques instants plus tôt sur ses moyens pour ce mois-ci commença a fouiller son portefeuille et à lui tendre des billets.

Le doute plana dans la tête de la débitrice. Ce qu’elle avait senti dans sa voix… C’était de la magie non ? Elle avait utilisé son pouvoir par accident, c’était certain. Mais est-ce qu’Aline s’en était rendu compte ? Les gens ne réalisent pas toujours. Quand la membrane entre l’action et la volonté de la victime est faible, ou qu’elle relève du quotidien…

Non elle lui aurait donné dans tous les cas. Elle aurait montré quelque chose si elle avait compris, non ? De la surprise, peut-être de la colère. Aline ne pouvait pas être aussi bonne actrice qu’elle, elle ne l’avait jamais vu autrement qu’en petite chose apeuré. Et ce n’était pas près de changer puisque la jeune mage lui chouina des excuses en reculant.


Muse quand elle s’attela à se montrer toujours aussi hautaine, sa voix enrobée dans le même miel dégoulinant de suffisance.

« Merci, Aline, c’est agréable de voir qu’on peut compter sur toi. À la prochaine. »

Elle n’avait rien fait de problématique, absolument rien, elle devait rester naturelle, s’éloigner avec une démarche confiante. Tout aller bien. Elle ne pouvait pas avoir deviné. Pas en l’état.

La maison ce soir-là était quasiment vide ; les parents étaient encore au travail, Danthe était à la garderie, et Muse estimé que Léandre y aurait aussi eu sa place bien qu’il soit malheureusement dans les parages.

Et puisqu’il était dans un excellent mood tandis que l'humeur de sa soeur balancait plutôt du côté exécrable du spectre, il ne se priva pas de la taquiner. Ça a commencé par teintée entièrement sa chambre en jaune.

Alors. Qu’elle. Déteste. Le. Jaune. Dent pour dent, connerie pour connerie.

« Tu peux te jeter un seau d’eau froide dessus s’il te plaît ? J’ai la flemme de le faire moi-même. »


Ce que Léandre, sous influence magique, fit, avant de reprendre ses esprits une fois l’ordre accompli. À partir de là tout était hors de contrôle, et la moitié du mobilier eu le droit à sa petite retouche fashion avec du bois rose comme son leggin, l’écran de télé couleur corail, tandis que le mage de couleur subit des flopées d’ordres plus absurdes les uns que les autres.

Tandis qu’il reprenait ses esprits après avoir été filmé dansant avec une casserole sur la tête sur le plan de travail de la cuisine, Léandre la joua rusé au milieu des affrontements barbares.

« Il faut absolument que tu me fasses une poignée de main ! » s’exclama-t-il, main tendue.

Après tant d’utilisation de son pouvoir, le contrecoup de Muse ne lui fit pas de cadeau : bien sûr qu’il fallait absolument qu’elle lui serre la main, c’était évident ! Pourquoi pas ?


Ah. Peut-être parce que sa magie de vol et de restitution de couleur marche au contact. Lorsque Muse repris ses esprits, elle était blanche. Toute blanche. Comme une feuille de papier. Sauf ses taches de rousseur qui elles avaient viré au noir de jais. Le temps qu’elle réalise, Léandre était en train de passer la porte de la cuisine en ricanant « J’T’AI VOLÉ TES COULEURS HA-AH. » pendant que Muse s’élancer à sa suite dans l’optique de lui faire regretter d’être née.


Mais dans le fond, elle n’allait pas s’en plaindre. Léandre était agaçant et stupide, mais c’était amusant de se bagarrer avec leurs pouvoirs respectifs en profitant de l’absence des parents pour utiliser leurs magies. Alors qu’elle le poursuivait, Léandre se figeât dans le couloir et elle le percuta de plein fouet, tombant avec lui.

« Qu’est-ce que tu- HAAAA ! »


Une main agrippa l’arrière de son col, pour brusquement la redresser et la maîtriser, parfaitement immobile contre le mur alors qu’on lui bâillonnait la bouche. Elle sentit une brève sensation de piqure puis son esprit s’engourdir petit à petit.


Le visage écrasé contre le papier peint, assommé par l’impact, elle constata des silhouettes larges, mais ne reconnut pas celle de Léandre. Elle entendit des voix brutales vociférer des ordres, mais avec le choc, aucun ne lui monta à la tête.  Son cerveau était si ankyloser qu'aucun chemin de pensé cohérent n’arrivait à s’aligner et elle ne parvenait pas à assimiler ce qui venait de lui tomber dessus.

Tout ce qu’elle chercher du regard c’était son frère, son seul repère. Lorsqu’elle l’aperçu à terre, elle voulut crier son nom, hurler à ce qu’on la lâche, mais elle était tellement engourdie que même sans bâillon elle n’était pas certaine de pouvoir articuler quoi que ce soit. Elle se sentit partir avec une pensé aussi absurde que « C’est drôle d’avoir autant envie de dormir alors qu’on à l’impression qu’on va mourir », puis plus rien. Les unités anti-mage les ramassèrent avec la même facilité que s’il s’agissait de deux sacs de courses posées dans l’entrée de la maison. Il ne leur avait pas fallu longtemps pour intervenir après la dénonciation par une certaine Aline, et ils avaient eu toutes les informations nécessaires pour agir rapidement. Les traces de magie sur place n'avaient pas laissé de doute sur l’impératif de leur capture.


Quand Muse rouvrit les yeux elle était probablement dans un véhicule vue le bruit. Elle aperçut d’autres visages de jeunes autour d’elle, mais c’est comme si elle n’était pas là. Extérieur. Quand le camion se fit attaquer, elle n’était pas là non plus. Spectatrice d’elle-même, elle se voyait basculer comme un meuble inerte avec la brutalité des secousses de l'habitacle. Elle se rapelle s'être vue debout comme un zombie au milieu des cris et des coups de feu. Elle se laissa trainer dans les directions ou on la presser par… des gardes venus les sauver ? Quelque chose d’aussi irréaliste que ça. Droguée comme elle était, elle avait juste l’impression de nager dans un grand rêve dont la violence était floutée.


La troisième fois qu’elle se souvient avoir ouvert les yeux, elle était… Dans un hôpital ? Une infirmerie qu’elle apprendra être celle de Leoska

Pouvoir

Description pouvoir :
Muse est capable de persuader les autres de faire ce qu’elle leur dit, de les charmer.

Elle peut formuler des suggestions, des ordres, des demandes et les personnes visées appliqueront la demande effectuée. Elle est obligée d’utiliser sa voix pour formuler ses demandes, et elles doivent être entendues par la cible.

Plus elle charme de personnes en même temps, plus cela va lui demander d’effort et pour l’instant elle n’est pas capable de viser plus de 5 personnes en simultané sur le même ordre.  Elle ne peut pas donner deux ordres différents à deux personnes différentes en simultané.

Plus l’ordre demander correspond à : ce que souhaitait faire la cible, ce à quoi elle est naturellement encline, moins le charme à de chance d’être repéré (la cible peut se rendre de compte de rien, tout comme se dire qu’il y a une anomalie quelque part, qu’elle a agi sur un coup de tête ect)

Plus l’ordre demandé va à l’inverse des tendances et des actions de la cible, plus il est certains que cette dernière aura conscience d’avoir été charmer précisément par Muse, une fois qu’elle reprend ses esprits.
Plus elle utilise son pouvoir sur une même cible dans un laps de temps court, plus la cible a de chance de savoir qu’elle a été sous influence.

Si une influence extérieure essaie de réveiller la cible de l’enjôlement, ce sera l’influence de Muse contre celle de cette personne sur la cible.

Dès que la demande a été menée à bien, le sort se lève.



Description contrecoup :
Le principal contrecoup du pouvoir de Muse est que plus elle va utiliser son pouvoir, plus elle va avoir tendance à faire tout ce qu’on lui dit. Si une partie d’une phrase contient un ordre ou une suggestion alors qu’elle est sous influence de son contrecoup, même si la suggestion ne lui est pas adressée elle va tout mettre en œuvre pour répondre à la demande.

Exemple : Théodule marmonne « Pfff j’aimerais trop qu’on fasse mon DM à ma place ».
- Elle va donc immédiatement plancher sur le DM de Théodule, sans faire aucune pause, jusqu’à ce qu’elle l’ai fini et restituer pour que l’ordre soit lever.)

Après un ordre qui allait fortement contre la volonté de sa cible, elle est proportionnellement aussi influençable qu’elle à forcer sa victime à l’être.


Si elle donne une quantité d’ordre important à plusieurs personnes dans un laps de temps réduit sans repos, son pouvoir va finir par s’essouffler et entrainer une forte fatigue physique.

A votre propos

Pseudonyme : MC Fraicheur, AKA Saph TMTC sisi la famille, ouai, ouai ouaiii
Prénom : Ouai ouai ouaiiii
Âge : ...
Comment as-tu connu le forum ? : 0u4i  0u4i  0u4i
Commentaire : ...

Revenir en haut Aller en bas
Page 1 sur 1
Sauter vers:
Partenaires