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Fiche de Présentation - Wilhelm Milton
Wilhelm Milton
Messages : 8
Age : 26
Localisation : France (Originellement Brixton, Londres)
Wilhelm Milton
Petiot



Lun 4 Mai - 12:01
Milton Wilhelm
ft. Bo Duvahl de Zephyri(Deviantart)

Âge : 19 ans
Date de naissance : 30/10
Genre : ♂
Nationnalité : Anglais
Année d'étude : 2e année Cursus Sup.
Club : -
Sexualité : Pansexuel
Pouvoir : Contrôle du Sang
Caractère

Patient • Nerveux • Romantique • Réticent à l’engagement • Extraverti • Possessif • Ouvert • Impulsif • Rieur

Si Wilhelm est un jeune homme blagueur et assez extraverti aujourd’hui, il n’en a pas toujours été ainsi. Avant le début de cette histoire, il était un enfant à l’intelligence et à la maturité plus développée que ses camarades. Il était calme, pas tout à fait renfermé, mais pas prêt à faire les premiers pas non plus. Il n’avait jamais connu son père ou d’autres figures parentales que sa mère, Lena, qui était depuis toujours (à la connaissance de Wilhelm) alcoolique et lunatique.

Après toutes les expériences vécues, Wil sort changé. Plus rien ne le retient. Trop longtemps il fût exclu, seul et sérieux; dans sa vie normale comme dans sa vie sur les routes. Un retour en société au sein de l’Académie Leoska lui a donc permit de s’ouvrir et de croquer la vie à pleine dents. Il reste cependant méfiant et anxieux, même si ce n’est pas ce que dirait n’importe quelle personne le voyant dans les couloirs.

Lorsqu’on le connaît plus intimement, on le sait patient, ouvert et l’âme d’un romantique. N’allons cependant pas croire qu’il est immaculé. Il peut se révéler nerveux et possessif à ses heures. Enfin, une grande réticence à l’engagement découle d’une adolescence passée à ne pouvoir compter sur personne d’autre que soi-même.

Physique

Blond comme les blés illuminés par une chaude journée d’été, des yeux d’un noisette cuivré et arborant toujours un sourire aux dents blanches éclatantes; Wilhelm est l’incarnation d’un soleil ardent. La constellation de taches de rousseur qui décore ses joues ne fait qu'ajouter à son aura lumineuse et la longue cicatrice douce et rosée qui courtise son oeil droit n’enlève rien à sa beauté simple.

Grand et finement musclé, il est tout en souplesse du haut de ses 1m85. Lorsqu’on le voit de dos, il peut paraître imposant, mais il crée un effet de surprise encore plus grand lorsqu'on voit la souplesse dont il fait preuve. Parce que, en effet, Wilhelm est un adepte du yoga! Sa posture toujours en légèreté, mais solide en donne l’indice à quiconque est un tant soit peu observateur. Enfin, il n’y a pas que le yoga, bien sûr. Des années à devoir fuir, se cacher, se défendre et survivre ont aussi forgé les muscles fins, mais efficaces, qu’il arbore. Ce qu’il fait qu’il aime bien se sortir de situations en une galipette qui cloue bien le bec de son adversaire.

Question vestimentaire il n’est pas du genre à se casser la tête : un jean, un pull et des basket. Le seul truc qui ne change jamais c’est un fidèle bracelet en cuir ouvragé qu’il porte toujours au poignet gauche et un pendentif contenant une héliotrope; un jaspe de sang.

Histoire

30 octobre, le jour de mes 11 ans.

La semaine précédente, j’avais rédigé, suite aux conseils de ma mère, une dizaine d’invitations à une fête qui était censé avoir lieu ici, au 117 Crownstone rd. Je n’avais pas particulièrement d’amis, mais c’était ce que faisaient tous les enfants à cet âge : ils invitaient leurs camarades de classe.
Le hic, c’était que nous étions le jour J, 20h00 et personne n’était là. Personne n’allait venir. C’était tant mieux; maman c’était encore endormie bourrée dans le canapé et avait même oublié de faire un gâteau.
Je soupirai, regardant ma mère avachie sur notre canapé défoncé aux ressorts inconfortables. Je tirai la couverture rêche qui était en boule à ses pieds et la couvrit jusqu’aux épaules. Qu’allais-je faire de plus? Rien.
Je me dirigeai vers la cuisine, fouillant dans les tréfonds des placards, pour trouver enfin ce que je cherchais : un vieux paquet de biscuits aux gingembres. Ils étaient probablement secs et durs comme deux petits morceaux de béton, mais ça m'était égal à ce moment là. Je me relevai, posant le précieux paquet sur la table et enfilai mon sweat à capuche. Fourrant les biscuits dans ma poche, je quittai la maison en douce, enfourchant mon vieux vélo pour aller célébrer mon anniversaire dans un endroit de mon choix.

Mon esprit s’arrêta sur le gigantesque Brockwell Park qui ne se trouvait pas trop loin de chez moi. Ainsi, je m’arrêtai sur le pelouse mouillée, lançant presque mon vélo avec une frustration que je ne ressentait pas vraiment au fond de moi. À quoi bon? Tous les ans, c’était la même chose. Je savais que maman ne pouvait pas s’en empêcher; c’était plus fort qu’elle. J'emmenai donc mon butin de biscuits secs dans un arbres auquel j’avais l’habitude de grimper. De là-haut, j’observai l’étendue qui semblait infinie du parc. J’appréciais le silence de la nuit, dans sa plus simple expression.
Cependant, au bout d’un moment, la vue de quelque chose se déplaçant dans le parc ne me plut pas du tout. Cette chose se révéla être un groupe de trois personnes qui, étrangement, se dirigeaient vers l’arbre dans lequel je me trouvais. Les signaux d’alarme tintant sourdement dans mon crâne, je ne perdit pas plus de temps et sautait de me perchoir, atterrissant en une roulade qui me sonna légèrement. Tel un lièvre, je détalai en direction de mon vélo qui était, ô si loin. Mes jambes semblaient ne pas toucher le sol tellement j’espérais arriver avant les trois ombres qui me cherchaient. Malheureusement pour moi, j’avais perdu la course. C’est ce que je me dis lorsque j’arrivai face à face avec ceux qui se présentaient maintenant comme mes adversaires. Seul mon vélo nous séparait d’un véritable face à face.

- Oh well … Happy Birthday, Wil!
- Eh bien … Joyeux Anniversaire, Wil!


Je baissai les yeux. Ce n’était pas la première fois que Gavin essayait de m’attraper dans un coin sombre comme cela. J’avais deux choix : soit je plongeais sur mon vélo afin de pouvoir les distancer par la suite, soit je courais maintenant. Dans les deux cas, il y avait de forte chance qu’ils me rattrapent, mais l’important était de ne pas se laisser faire. Je crachai de manière provocatrice au sol et je pris mes jambes à mon cou.
J’entendais le souffle de mes opposants derrière moi, je savais que je ne pourrais pas les distancer longtemps, m’essouflant beaucoup plus rapidement que ceux-ci. Le moment fatidique arriva où je ne pouvais plus courir et où mes mouvements se firent moins précis, plus saccadés. Je trébuchai lâchement sur un caillou, tombant en avant et entraînant Gavin avec moi qui m’utilisa comme un amortisseur. Je vis des étoiles, ma vu se brouilla et je me senti être tiré par les cheveux. Je suivi le mouvement en râlant. Gavin, du haut de ses 13 ans, étaient beaucoup plus fort que moi et n’hésita pas un seul instant à m’aider à faire une nouvelle rencontre avec le sol. Je ne le vit pas à cause de ma vision trouble, mais le sang gicla de mon nez et je cru vraiment que j’allais m’évanouir. Je senti qu’on me retournait sur le dos, j’étais en nage totale. Mes yeux revinrent à la normale, comme s’il se repositionnaient devant mes orbites. Pendant que les trois gamins rigolaient, j’essuyai, tremblant, le sang qui coulait sur ma lèvre supérieur. Voyais-je toujours flou ou le sang sur mes doigts était-il en train de … danser? Regardant le sang sur ma main créer des arabesque comme s’il avait une vie propre, je n’avais pas remarqué les regards qui s’étaient tournés vers moi. Je doutais que les cancres voient ce que je voyais … peut-être subissais-je des hallucination après m’être fait fracasser le crâne contre le bitume? C’était fort plausible, mais à cet instant précis, je réalisai qu’il était possible que je ne me relève pas de cette soirée. Une boule chaude s’ancra au fond de mon estomac, brûlant presque un trou à travers mes organes. J’avais peur. Je voulais retourner dans la cuisine, déserte, mais cent fois plus réconfortante que cette allée bitumée. Je senti une pression cherchant à faire exploser les os de mon poignet. Une larme traça une ligne sur ma joue encrassée.

- Oh poor baby! He’s crying!
- Ah le bébé! Il pleure!


Et les autres rirent de plus belle. Le sang de ma main était maintenant partout sur celles de Gavin qui continuait de me secouer incessamment et, soudain, un rire resta coincé dans sa gorge. J’avais envie qu’il souffre. J’avais envie de me débarrasser de cet idiot qui me menait la vie dure. Et il cria. Il frottait ses mains, s’essuyant sur son jean, tentant d’atténuer une étrange souffrance invisible aux yeux des deux autres et moi-même. Dans la lueur de la lune, une étrange tache sombre faisait lentement son chemin le long du bras de mon persécuteur. Je reculai grâce à mes mains, m’aidant en poussant le bitume avec mes pieds. Personne n’osant faire un bruit, nous regardions tous Gavin succomber à un mal que nous ignorions. Alors que la tache arriva finalement sur son oeil gauche, l’adolescent s’effondra au sol. Je n'attendis pas de voir son état. Ma seule crainte était qu’il se relève et continue sa torture. Je pris mes jambes à mon cou; laissant en plan les deux acolytes affolés. Mes pensées roulaient à mille à l’heure, la vue de mon sang bouillonnant devant des yeux me hantant de plus en plus chaque minute. Qu’avais-je fais? Étais-je maintenant un … meurtrier? Gavin était il mort ou simplement évanoui? Tant de question qui resteraient probablement sans réponse …

Tout ce que je trouvai à faire fût de rentrer chez moi, abasourdi, et regarder mes mains; adossé à une porte que j’avais doucement fermée derrière moi. Le sang y était toujours, bougeant tout de même au même rythme que mes pensées agitées. Seul à seul avec ce phénomène, je ne me sentais étrangement plus craintif … il faisait partie de moi. Et je fis le lien.
Maddy, cette fillette de mon école qui avait arrêter de venir en classe. Ils avaient parlé de maladie grave. On ne l’avait plus jamais revu. Elle avait été comme effacée. Les gens chuchotaient des rumeurs de magie et autres sottises absurdes. Peut-être n’en était-ce pas. Était-il donc un monstre? Pourquoi ce phénomène ne se présentait-il que maintenant? Sa mère était-elle au courant? Tant de questions qui, encore une fois, ne trouveraient pas de réponse.

Et, en un instant, je pris une grave décision. J’allais partir. J’étais potentiellement un monstre en plus d’un meurtrier … qu’allait penser ma mère? Était-il possible d’être un assassin à 11 ans tout juste? C’était de la folie, mais je ne savais pas quoi faire.
Cependant, comme si je m’y préparais depuis toujours, j’étais prêt en un rien de temps à fuir une vie monotone et un monde où j’avais le sentiment d’être invisible. La dernière chose que je vis de la maison familiale fût ma mère, toujours endormie à côté de sa fidèle pile de bouteilles de bière vides.

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Un vieux livret à moitié déchiré.

Voilà ce qui résumait ces quatres dernières années de vie. J’y raconte toutes mes expérience de fuite, de vie dans la rue, de survie, mais aussi mes observations. Des observations sur ce que je venu à appeler “ma force”. J’en étais venu à la conclusion que je pouvais contrôler mon sang; en tout cas sa forme. Au fil des années, j’avais testé beaucoup de chose : je m’étais coupé pour examiner mon sang, je l’avais fais prendre d’innombrables formes comme des étoiles, des disques, mais aussi des aiguilles, de petits pieux et beaucoup d’autres. J’avais aussi remarqué, à force de rester des heures à observer, que ces actions me drainaient littéralement de mon énergie, que les maux de tête venaient en migraines agressives et que j’étais souvent étourdi. Des crampes plus ou moins paralysantes avaient aussi lieu, à mon plus grand dam. À l’époque, je n’avais pas de mots pour les symptômes que je ressentais, mais l’anémie était en tout point logique. Tout ça était beaucoup pour moi et je ne dormais que très peu malgré les vagues de fatigue immense qui me submergeaient parfois. Vivant dans la rue, je devais constamment surveiller mes arrières et mes affaires au risque de me faire piller le peu de possessions que j’avais. Mon seul vrai échappatoire de mes pensées qui me ramenaient toujours au soir fatidique de mon départ c’était ce cahier. J’y racontait tout et rien à la fois. J’y racontait les événements marquant de ma vie de fugitif; comme la fois où j’ai failli perdre un oeil. En effet, cette fameuse fois où j’ai dû me battre pour ne pas perdre toutes mes maigres possessions et qui m’a malheureusement gratifier d’une cicatrice à l’oeil droit. J’avais pensé mourir ce jour là, parce que l’homme que j’avais dû combattre avait le regard vitreux d’un homme n’ayant plus rien à perdre.

Cependant, après toutes ces expériences vécues et le fait d’être convaincu que ma vie se résumerait en une éternelle course poursuite je ne m’attendais pas à la suite …

──────────────────────────────────────────────────────────────

Ma capuche abaissée devant les yeux, je regardais dans le vague. Assis au bord de la Tamise aux abords du Battersea Park, j’observais la lune se refléter dans l’eau brillante. La nuit était étrangement calme, mais je profitais de quelques instants de répis avant d’aller me trouver un coin pour la nuit. D’eux même, mon index et mon majeur trouvèrent le haut de ma cicatrice, dans mon sourcil, et je la triturai de manière absente. Ce qui me sortit de ma contemplation fût un léger bruit de feuille. Me retournant sèchement pour voir si quelqu’un tentait de s’infiltrer derrière moi, j’aperçu le faisceau de deux lampes torches. Je me relevai brusquement, commençant à entendre la respiration haletante de chiens. Des policiers, pensai-je. En ce moment, ils menaient souvent des excursions aux abords du cours d’eau qui coupait Londres en deux. Nerveux, je pris mon paquetage et procédai à une retraite la plus discrète possible. S’ils m’attrapaient, on m’enmènerait, m’intérrogerais et on découvrirait potentiellement des choses à mon sujet que je n’avais pas envie de voir s’ébruiter. Une branche craqua sous ma botte et je retins mon souffle, entendant ce que j’étais convaincu être une brigade de policiers.Mais quel con!, me criai-je mentalement. Je me dépéchai de remonter la rive en m’assurant d’être derrière l’escouade. Même si passer la nuit dans un endroit chaud était tentant, je n’avais pas l’intention de me faire priver de ma liberté aussi facilement. Serrant mon sac contre ma poitrine, je me dis qu’un gamin de 15 ans passerait plus inaperçu qu’un vieux gaillard comme il y en avait beaucoup à cette heure là. Un sifflement strident, mais sec se fit entendre. Ça ne dura qu’une seconde, mais je su que j’étais démasqué. À mon grand désespoir, je remarquai que j’étais pris en sandwich entre quatre agents qui se rapprochaient dangereusement, tout en restant prudent.

- Hep, garçon! Reste où tu es!

Mon corps se laissant aller contre mon gré à la panique, je sentis la fameuse boule de lave se former dans mon estomac; mon sang grouillant dans mes veine comme s’il voulait sortir.

- On reste calme, on ne te veux pas de mal.

La tête fouettant d’un agent à l’autre, j’apportai ma main à la poche de mon sweat afin d’y saisir l’objet coupant que je gardais toujours sur moi pour me défendre. Ils étaient beaucoup trop. Peut-être pourrais-je m’en sortir si je me laissais aider de mon pouvoir; seulement cette fois. Malheureusement, je n’en serais que plus à découvert. Si quelqu’un comprenait ce que je pouvais faire, je serais dénoncé et je disparaîtrais comme Maddy. Inconsciemment, je me tailladai la paume de la main, ordonnant d’instinct à mon liquide vital de prendre une forme pouvant m’aider à me défendre. Les gouttelettes ressemblant à des balles de 9mm s’élèverent d’elles-même en une dizaines de petits points menaçants. Je savais que les crampes allaient arriver rapidement et que je n’avais que très peu de temps à perdre. Cependant, avant même que je puisse faire quoi que ce soit de mon pouvoir, je me sentit soulever et ma tête rapidement basculer vers le bas. J’étouffai un cris ne comprenant pas ce qui se passait.

Un déclic. D’autres gens … avec des pouvoirs? L’agent étant le plus près de moi se positionna au niveau de ma tête alors que j’étais immobile comme un hareng au bout d’une corde.

- C’est bon? Tu es calme?

Je le regardai droit dans les yeux, la bouche ouverte cherchant des mots qui étaient coincés dans ma gorge. Comment m'avaient-ils trouvé? Je n'utilisais que très rarement mes pouvoirs ... Allait-on me tuer?

- Ne t’en fais pas, on va s’occuper de toi. Nous sommes comme toi.


D’un coup, des années d’inquiétudes vinrent inonder mon être. Comme si un seau d’acide s’était toujours tenu au-dessus de ma tête, risquant de me détruire, et que, en un instant, on l’avait fait disparaître. Et je pleurai. Je m’effondrai dans les bras de l’homme se tenant devant moi. Je n’avais cure de l’infime possibilité qu’il me mente, du fait que tous ces gens étaient de purs inconnus. En cet instant, je ne souhaitais que pouvoir me reposer sur quelqu’un.

On m’expliqua donc la suite … L’Académie et son but, son fonctionnement global, tous ses enjeux, ce que j’étais, ce que j’avais de la chance de ne pas avoir vécu. J’étais si perturbé par tous les changements que je vivais que je ne trouvais pas de mots. Tout se passait à une vitesse impossible et, en un rien de temps, je fus hébergé à Leoska; une nouvelle vie s’offrant à moi.

A votre propos

Pseudonyme : Mallice
Prénom : Mystère et boule de gomme!
Âge : 22 ans
Comment as-tu connu le forum ? : Par un certain Harold, vous le connaissez?
Commentaire : pouet ♥

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Wilhelm Milton
Messages : 8
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Localisation : France (Originellement Brixton, Londres)
Wilhelm Milton
Petiot



Lun 4 Mai - 13:30
Fiche terminée ♥
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Saphirre Lacey
Messages : 450
Age : 23

Feuille de personnage
Age: 20 ans
Pronoms:
Club: Art martiaux
Pouvoir: Contrôle hormonale
Saphirre Lacey
Trash Can or trash cannot



Lun 4 Mai - 14:23
Heeeey déja bienvenue encore à toi ! Ta fiche est super agréable a lire sache le ! Very Happy
Bon, déja je t'ai ajouter au mage rouge, les plus bô, et tu es validé !
J’espère que tu te plaira à Leoska en tout cas !
Tu peut dés maintenant poster dans les demandes de rp ou fouiner les demandes des autres pour trouver des partenaires !
Tu es dans la Chambre quatre du dortoir B, aile nord, avec Cassandre et Raja ! Very Happy
Au plaisir de croiser en rp ! Very Happy



Fiche de Présentation - Wilhelm Milton Sans_t56

J'écrit en cette belle couleur, jalouse pas trop stp#0099cc
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